En Suisse, les principaux impôts comprennent l’impôt fédéral direct, l’impôt cantonal et communal sur le revenu, ainsi que la TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée).

Les déductions fiscales peuvent inclure les cotisations de prévoyance (AVS/AI, LPP), les frais de garde d’enfants, les intérêts hypothécaires, et certaines dépenses de santé.

En Suisse, les revenus des couples mariés sont additionnés et imposés conjointement. Cela peut parfois entraîner un taux d’imposition plus élevé, un phénomène connu sous le nom de « pénalisation du mariage ».

L’imposition à la source concerne principalement les travailleurs étrangers qui ne détiennent pas de permis de séjour de type C. L’impôt est directement prélevé sur leur salaire par l’employeur.

Les revenus de placement, tels que les dividendes et les intérêts, sont soumis à l’impôt sur le revenu. En outre, un impôt anticipé de 35 % peut être retenu à la source, mais il est souvent remboursable.

L’impôt sur le revenu est calculé en fonction de votre revenu imposable, qui inclut les salaires, les revenus de placement, les pensions, et d’autres sources de revenus. Chaque canton a ses propres barèmes d’imposition et taux.

Les déclarations fiscales doivent généralement être soumises avant le 31 mars de l’année suivante, mais des prolongations peuvent être demandées.

Oui, les étrangers résidant en Suisse sont soumis aux mêmes impôts que les citoyens suisses, mais des accords de double imposition peuvent s’appliquer pour éviter la double imposition sur les mêmes revenus.

Les travailleurs frontaliers sont généralement soumis à l’imposition dans leur pays de résidence, mais peuvent aussi être soumis à certaines taxes en Suisse. Les accords bilatéraux entre la Suisse et les pays voisins régissent ces obligations.

Les propriétaires immobiliers peuvent déduire les intérêts hypothécaires et les frais d’entretien de leurs biens immobiliers. Cependant, ils doivent aussi déclarer un revenu locatif fictif appelé « valeur locative » pour leur résidence principale.